Depuis quelques mois, et en amplification depuis ce printemps, nous constatons des mortalités parfois massives affectant préférentiellement les carpes pourtant robustes, les mortalités des autres espèces étant beaucoup moins importantes voire quasi nulles. La mortalité s’est progressivement réduite au fil des années. Cependant, l’arrivée en France de la maladie du sommeil de la carpe change la donne. En effet, cette maladie encore mal connue peut anéantir 80% du cheptel de carpe d’un plan d’eau en quelques jours. Il convient de limiter les risques de propagation et de la détecter en cas de mortalité. Dans notre département où la carpe prend une place prédominante sur nos activités associatives, l’enjeu est de taille pour la pérennité de la pêche de loisir.

Cliquez ici pour en apprendre davantage à ce sujet grâce à une noté détaillée du docteur vétérinaire Monsieur VOM SCHEIDT Andréas.

Cliquez ici pour en apprendre plus sur les démarches utiles à appliquer afin de limiter la propagation.